Vorlage:1930 Rezensionen Vom Geist der Liturgie

Aus Romano-Guardini-Handbuch
  • [1930-026] [Italienisch] Rezension zu: Guardini, Vom Geist der Liturgie, ital., in: Arte cristiana. Revista mensile illustrata, 1930, S. 350 - [neu aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=MHIHZUzQ5OcC
  • [1930-027] [Französisch] Léon Barbey: Rezension zu: Guardini, Vom Geist der Liturgie, franz., in: Revue catholique pour la Suisse romande, Freiburg in der Schweiz (Fribourg), 5, 1930, S. 433-435 [Mercker 3762] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1930-028] [Italienisch] Mario Berti: Lo spirito della Liturgia, in: Il Frontespizio, 1930, Juni, S. 5ff. [neu aufgenommen] - [Artikel] - https://books.google.de/books?id=FgJfSBV9keUC
  • [1930-029] [Lateinisch] Marius Berti: Rezension zu: Guardini, Vom Geist der Liturgie, ital., in: Ephemerides liturgicae, 44, 1930, S. 447 f. [neu aufgenommen] – [Rezension] - https://books.google.de/books?id=2TU8AQAAIAAJ
  • [1930-030] [Französisch] Rezension zu: Guardini, Vom Geist der Liturgie, franz., in: La Crapouillot, 1930, S. 13 (Kurzrezension: „Un témoignage important sur le mouvement catholique en Allemagne depuis la guerre . L'auteur est un Italien de Vérone transplanté en Germanie et qui y a décou-vert sa voix.“ [neu aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=JB0iAQAAMAAJ
  • [1930-031] Rezension zu: Guardini, Vom Geist der Liturgie, in: Das Neue Reich, Wien, 12, 1929/30, 31 (3. Mai 1930), S. 656 [Gerner 390] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1930-032] [Englisch] R.C.B.: Rezension zu: Guardini, Vom Geist der Liturgie, in: Orate Fratres (Worship), 5, 1930, S. 581f. [neu aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=838TAAAAIAAJ
  • [1930-033] [Italienisch] Rezension zu: Guardini, Vom Geist der Liturgie, ital., in: L´ Osservatore Romano, 1930, 12. Oktober [neu aufgenommen] - [Rezension] – [noch nicht online]; darin:
    • "francamente, scorrendo il libro, ei è venuto fatto di invidiare un po´i nostri colleghi stranieri, che, a contatto con una vasta attività scientifica avversaria, sono stimolati a ristudiare con sempre nuovo ardore il cattolicismo, di cui mettono in luce sempre nuove bellezze e possibilità di pratiche applicazioni."
    • Reaktionen:
      • [1930-034] [Italienisch] E. B.: Resipiscenze, in: Ricerche religiose=Religio. Rivista di studi religiosi, 6, 1930, S. 552 [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=1PJKhArTeYcC oder https://books.google.de/books?id=zsYSAAAAIAAJ; zu Romano Guardini:
        • S. 552: „Pubblicando una favorevole rassegna di un'opera di Romano Guardini (di cui parlò in queste pagine F. Heiler) testè tradotta in italiano (Lo spirito della liturgia) l´«Osservatore Romano» (12 ottobre) è uscito in questa strabiliante conclusione: „francamente, scorrendo il libro, ei è venuto fatto di invidiare un po´i nostri colleghi stranieri, che, a contatto con una vasta attività scientifica avversaria, sono stimolati a ristudiare con sempre nuovo ardore il cattolicismo, di cui mettono in luce sempre nuove bellezze e possibilità di pratiche applicazioni“. Ma bravissimo lo scrittore del magno organo curiale! Dunque è desiderabile la propagazione del protestantesimo, il quale con la sua „vasta attività scientifica“ stimolerà i cattolici „a ristudiare“ la loro fede! Perchè, evidentemente, i cattolici sono incapaci di scoprire le «bellezze» del cattolicismo, se non sono sotto il pungolo dei loro «avversari». Una così dissennata dichiarazione, se non si deve assumere come un sintomo inquietante di rimbambimento senile, deve ritenersi un irrefrenabile indizio di postumo pentimento. Pentimento per avere soffocato in sul nascere, invece di purificare saggiamente dalle sue inevitabili scorie, quel movimento culturale, che subendo da lontano le ripercussioni dei movimenti religiosi concorrenti, si era sforzato di porre su basi più adeguate alle generazioni contemporanee l'apologetica del cattolicismo. Ma nessun più magro conforto che il prendere atto delle tarde resipiscenze. Quali mai lacrime di coccodrillo espieranno lo strazio di tante anime conculcate e trafitte e. b.“
  • [1930-035] [Italienisch] Rezension zu: Guardini, Vom Geist der Liturgie, ital., in: Il progresso religioso, Rom, 11, 1930, S. 174 [Mercker 3736] - [Rezension] - [noch nicht online]
  • [1930-036] [Französisch] Rezension zu: Guardini, Vom Geist der Liturgie, franz., in: Revue grégorienne, 15-16???, 1930, S. 160 [neu aufgenommen] – [Artikel] - https://books.google.de/books?id=8pHkAAAAMAAJ; zu Romano Guardini:
    • S. 160: „200 – R. Guardini, L´esprit de la liturgie, traduction et introduction par R. D´HARCOURT, Paris, Plon, 1929, in-16, 277 p., 20 fr. (Collection: Roseau d´or, IV, 7.) Pour faire une recension de cet ouvrage, il était préférable sans doute d'attendre que l'enthousiame se fût quelque peu assoupi qui a marqué son apparition dans le public français. On peut dire que son influence a été grande, en France comme en Allemagne, et que beaucoup ont enfin compris l'esprit de la liturgie et la place que la fonction de louange devait reprendre dans l'Eglise. (Mais qu'en pense le très clairvoyant auteur qui, naguère, se donnait la mission de mettre en garde la chrétienté contre Solesmes et sa conception timide et primaire de la vie spirituelle?) Entendons-nous bien toutefois. Malgré son engouement, au cours de plusieurs générations, pour la culture allemande, l'esprit français n'était pas totalement perverti de romantisme et d'individualisme. L'erreur serait aujourd'hui de nous déclarer plus coupables que nous n'étions et de nous croire obligés de mettre la liturgie partout. «La primauté du logos sur l'ethos», tout fils des civilisations grecque et latine la professe, fût-ce inconsciemment; tout tempérament français qui se donne à ce qu'il fait, réalise, quand il s'y met, le chapitre de «la liturgie comme jeu». Le malheur serait de se laisser griser par ce livre écrit pour des allemands, et par le romantisme qu'il contient dans la mesure même où il le combat. Sans aucun doute, le mouvement liturgique d'Outre-Rhin a de fortes attaches avec le romantisme; il nous suffit pour en avoir la preuve, de considérer l'effort de ses historiens pour rapprocher Dom Guéranger et Chateaubriand!!! Il est juste d'ajouter d'ailleurs que les inconvénients en sont moindres peut-être qu'en France; mais c'est précisément pour cela que nous nous devons de réagir contre tout ce qui pourrait ternir la clarté de l'esprit français-latin.“
  • [1930-037] [Französisch] Rezension zu: Guardini, Vom Geist der Liturgie, franz., in: Revue des sciences philosophiques et théologiques, Paris, 19, 1930, S. 291 [Mercker 3746] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=xO6EAAAAIAAJ
  • [1930-038] [Italienisch] Rezension zu: Guardini, Vom Geist der Liturgie, ital., in: Il solco. Rivista di cultura e di attività feminile, 1930, S. 429 [neu aufgenommen] - [Rezension] - https://books.google.de/books?id=4DOmBMSduUAC
  • [1930-039] [Französisch] R. L.: Rezension zu: Guardini, Vom Geist der Liturgie, franz., in: La Vie spirituelle, 22-23???, 1930, S. 204 ff. [neu aufgenommen] – [Rezension] - https://books.google.de/books?id=NSLlPNLYrEAC; zu Romano Guardini:
    • S. 204 ff.: "Dans la collection du „Roseau d´Or“ a été publiée récemment la traduction d´un ouvrage allemande qui mérite à plus d´un titre de retenir notre attention. L'auteur, Romano Guardini, est Italien par ses origines et Allemand par toute sa formation. Ce Latin, suffisamment germanisé pour être un des maîtres les plus écoutés de la jeunesse allemande, n'a pas perdu pour autant les qualités héréditaires de sa race. Cas de synthèse curieux en lui-même, heureux en ses résultats. Pour vous en convaincre, lisez ce livre où la clarté se joint au goût de l'inexprimable, où la précision ne fait pas oublier la complexité fluide du réel, où la pensée sans cesser d'être forte est toujours imprégnée de sentiment. Il est regrettable qu'un tel écrivain perde tout le charme de son style par le fait d'une traduction dont les négligences font contraste avec la présentation typographique impeccable. L'ouvrage que nous proposons de faire connaître n'est pas un livre de piété ni d'érudition liturgiques. C'est un éloge dûment justifié de la liturgie catholique «dans son ensemble, telle qu'elle est en elle-même, et non pas sous cet aspect diminué et atrophié qu'elle a trop souvent, hélas, de nos jours ...». Cette liturgie est tout d'abord le type achevé de la prière collective telle qu'elle doit être, en raison de la nature du sujet qui prie. Son fond est pensée, non sentiment. Fréquemment répétée, une formule de prière qui exprimerait surtout des sentiments perdrait vite sa sincérité. La liturgie, toute nourrie de doctrine religieuse, ne s'égare jamais dans le domaine de la théorie pure. Elle est mue et vivifiée par le sentiment. L'émotion a donc sa part en cette prière, parfois même il semble qu'elle entraîne et domine tout songez au deuil de la Semaine Sainte et à la joie exubérante de Pâques. Toutefois, une pareille exaltation est exceptionnelle; à son ordinaire, la liturgie catholique est «de l'émotion domptée». Elle élève l'âme sans trop dépasser sa moyenne spirituelle afin de sauvegarder la sincérité de la prière ...« Un vœu, un arrachement radical et pour toujours du péché, le don total et emporté de soi-même, le mépris du monde et le renoncement à la vie ne sont point du nombre des sentiments qui forment la trame habituelle de la prière liturgique». ... «L'âme ne les formule pas, elle s'y excite, elle implore la grâce de les ressentir. La liturgie évite les prières quotidiennes où ces sentiments seraient affirmés sous la forme de consécrations morales positives » Ces quelques indications concernant le premier chapitre intitulé «La Prière Liturgique» peuvent donner une idée de la manière dont l'auteur aborde son sujet. De même que dans ce premier chapitre il analyse en psychologue et en théologien les qualités de la liturgie en tant que prière, il va, dans les suivants, examiner cette prière sous plusieurs aspects caractéristiques. Le chapitre «Communauté Liturgique» envisage une certaine mentalité absolument requise chez celui qui veut faire de la liturgie sa prière. Il faut qu'il se déprenne du moi, de cette sollicitude attendrie pour soi-même que chacun est tenté de porter jusque dans sa vie de prière. Quiconque veut entrer dans l'esprit de la liturgie doit «considérer comme sa sphère propre le vaste monde des buts spirituels». Gros sacrifice pour le tempérament individualiste, sacrifice en partie seulement compensé par la satisfaction de cette tendance sociale qui nous pousse à chercher des frères dans notre vie spirituelle. Car la liturgie catholique est loin d'encourager cette sorte d'empiètement sur le «chez-soi spirituel» d'autrui où aboutissent les adhérents de telles sectes pour avoir par trop recherché la communauté de vie et d'expériences religieuses. La mesure que l'Église sait garder en toutes choses a fait de sa prière une merveille de style au sens large du mot, et aussi en un sens plus restreint que l'auteur en un chapitre spécial détermine et applique à la liturgie. Le chapitre sur le [206] symbolisme liturgique est une étude psychologique de ce dernier, de ce qui, en nous, le favorise ou s'y oppose. De même que le chapitre sur le style liturgique, ceux qui portent les titres «La Liturgie comme jeu» et «Le sérieux profond de la liturgie» font appel à des notions de philosophie de l'art. C'est ici que l'auteur donne toute sa mesure. Quel plaisir de le voir dérouler le contenu éternellement jeune des vieux adages: «Pulchritudo splendor veritatis, species boni»! L'exaltation de la beauté liturgique est d'ailleurs sagement tempérée par une protestation contre l’esthéticisme, déformation dangereuse qui fait attribuer à la beauté un rôle directeur que la vérité seule peut assumer. Pour terminer et couronner son travail, l'auteur esquisse ce qu'on pourrait appeler la métaphysique de l'esprit liturgique. Ce qui, en dernière analyse, décide de l'excellence de la liturgie, c'est qu'elle accorde à la vérité la primauté dans la conduite de la vie. En quoi elle respecte une loi de l'être même; et c'est en faisant respecter par ses accorde à la vérité la primauté dans la conduite de la vie. En quoi elle respecte une loi de l'être même; et c'est en faisant respecter par ses adeptes fervents cet ordre foncier qu'elle pourra contribuer efficacement à guérir un monde qui a trop longtemps ignoré ou méconnu ce qu'il y a de plus vrai dans la vérité, de plus réel dans la réalité."